Quelles prévisions pour les langues pour 2025 ?
À la lumière de nos données, une chose est claire : en 2025 et au-delà, les apprenants continueront à choisir des langues qui ouvrent des portes professionnelles, facilitent les échanges internationaux et soutiennent leur mobilité globale.
Les langues de niche vont continuer à grimper
Des langues comme le polonais ou le néerlandais continueront à gagner du terrain, poussées par l’immigration et les besoins du marché du travail.
Les établissements qui se concentrent uniquement sur les grandes langues (espagnol, français, allemand) devront diversifier leurs offres.
Les cursus incluront davantage ces langues dans les zones où les communautés d’expatriés et les marchés internationaux sont en plein essor.
Chez Berlitz, nous offrons déjà la possibilité à nos étudiants du monde entier d’apprendre plus de 40 langues.
L’IA ne remplacera pas l’apprentissage des langues
Oui, les outils de traduction basés sur l’IA deviennent de plus en plus performants.
Oui, on peut s’entraîner avec ChatGPT.
Mais rien ne remplace un apprentissage structuré, un retour en temps réel et un accompagnement personnalisé par un formateur.
L’IA va certes aider à mémoriser du vocabulaire ou à rédiger des devoirs, mais le cœur de l’apprentissage linguistique — l’interaction humaine — reste essentiel.
Vers un apprentissage plus concret et interactif
Cela dit, les méthodes classiques d’apprentissage des langues — répétitions de grammaire, mémorisation par cœur, exercices à trous — ne suffiront plus face à des apprenants armés d’outils d’IA. En 2025, il faudra aller au-delà des manuels pour proposer un apprentissage pratique et axé sur la conversation.
Les étudiants attendront des mises en situation concrètes, des retours personnalisés et des cours interactifs qui les préparent à utiliser la langue dans la vraie vie — pas seulement à réussir un test.
L’objectif ? Parler, comprendre et penser dans la langue dès le premier jour.